Skip to main content

Chaos to Canvas (Traduction française à venir)

Les mémoires réédités de Maxwell Smart sont désormais en vente chez HarperCollins sous le titre de The Boy in the Woods. Consultez leur site pour vous procurer un exemplaire.

Dans la ville de Buczacz (Pologne), Maxwell, 11 ans, joue dans les ruines d’anciens châteaux et mène une vie tranquille entourée de sa famille jusqu'à l'été 1941, date à laquelle les nazis envahissent et anéantissent son enfance à jamais. Maxwell échappe de justesse à la déportation et à une mort certaine, et se retrouve bientôt tout seul dans les bois glacés, se cachant des groupes de nazis et de leurs collaborateurs ukrainiens errants. Seul et désespéré, effrayé et affamé, Maxwell doit compter sur la bonté d'un fermier ainsi que sur sa propre ingéniosité et son imagination pour survivre. À travers le récit poignant, mais néanmoins stimulant du parcours qu’il narre dans Chaos to Canvas, Maxwell décrit avec éloquence comment un petit garçon qui dépendait de sa famille s’est transformé en un adolescent qui s’est battu pour survivre et, enfin, un homme qui s’est trouvé dans la vie grâce à l'art, par-delà la guerre.

Préface de Carol Zemel

En bref
Pologne
Clandestinité
Camp de personnes déplacées (Autriche d’après-guerre); Roumanie
Projet des orphelins de guerre
Immigration au Canada en 1948
Adaptation à la vie canadienne
Œuvres d’art de l’auteur
Ressources éducatives disponibles: Maxwell Smart

240 pages

Tranche d'âge recommandée
14+
Langue
Anglais

*Si vous êtes enseignant au Canada, vous pouvez commander gratuitement les ressources ici.

Photo of Maxwell Smart

À propos de l'auteur

Maxwell Smart est né en 1930 à Prague en Tchécoslovaquie (aujourd’hui en République tchèque). Après avoir survécu seul à l’Holocauste, livré à lui-même, Maxwell immigre au Canada en 1948, à l’âge de dix-sept ans, dans le cadre du Projet des orphelins de guerre. Il s’est installé à Montréal où, devenu un peintre à succès, il a ouvert sa propre galerie d’art en 2006.

Consulter sur Re:Collection

The only sounds breaking the grim silence of the forest were the chirping of birds and occasionally the cry of an animal…. I would imagine shapes and dream of travelling through endless space. I created my own little world of safety.