Nous donnons vie aux récits depuis 20 ans
Depuis 20 ans, le Programme des mémoires de survivants de l’Holocauste préserve les voix des survivants pour les générations futures.
Aujourd’hui, nous racontons les coulisses du Programme — nos débuts, les leçons retenues au fil des ans et les moments inoubliables qui ont marqué notre parcours.
Chaque vidéo ne dure qu’une à deux minutes, mais ensemble, elles racontent une histoire qui s’écrit depuis vingt ans.
Les origines
Les origines
Depuis 20 ans, nous donnons vie aux récits. Pour célébrer ce moment marquant, nous lançons une série de 20 capsules vidéo afin de vous dévoiler les coulisses du Programme des mémoires de survivants de l’Holocauste.
Retracez avec nous l’évolution du Programme et joignez-vous à nous pour rendre hommage aux survivants qui nous ont confié leurs témoignages ainsi qu’à celles et ceux qui les partagent : nos lectrices et nos lecteurs, le personnel enseignant et les membres de nos communautés.
Dans la première capsule de notre série, Naomi Azrieli, présidente et directrice de la Fondation Azrieli, revient sur l’idée fondatrice de son père — un projet qui, deux décennies plus tard, continue de nous faire vibrer.
Découvrez les origines du Programme des mémoires, racontées par Naomi.
Un aperçu
Un aperçu
« Les récits des survivants sont au cœur du Programme, mais notre manière de les raconter évolue constamment. » — Jody Spiegel, directrice du Programme des mémoires de survivants de l’Holocauste
Jody témoigne de l’évolution du Programme des mémoires au cours des vingt dernières années – de la conception des mémoires et des ressources pédagogiques à la production de livres audio et de films – et précise pourquoi il importe que nos ressources soient accessibles à chaque élève et à chaque membre du personnel enseignant.
Laissez place à Jody pour découvrir comment le Programme des mémoires donne vie aux récits.
Des récits qui résonnent
Des récits qui résonnent
“Les récits de survivants parlent à chacun et chacune de nous […] Parfois, leurs expériences nous font réfléchir à notre propre vie.” — Elin Beaumont, qui a dirigé nos programmes communautaires et éducatifs durant 15 ans
Laissez Elin vous expliquer pourquoi ces témoignages sont d’une si grande importance.
L’édition
L’édition
« La partie la plus satisfaisante du processus […] est de finaliser le livre, de l’imprimer et de le remettre au survivant ou à sa famille […] sachant que le témoignage traversera le temps. » — Arielle Berger, éditrice en chef
Laissez Arielle, Devora et Matt, de l’équipe d’édition du Programme des mémoires, vous présenter le processus éditorial qui donne vie aux récits et les valeurs qui le sous-tendent, soit le soin apporté à chaque témoignage, le souci du détail et le respect pour le survivant et pour son histoire.
La vérification des faits relatés
La vérification des faits relatés
« C’est un équilibre délicat que d’honorer la vérité d’un auteur et de la faire correspondre à la vérité historique. » — Arielle Berger, éditrice en chef
Laissez Naomi Azrieli et Arielle Berger vous expliquer en quoi l’édition des témoignages de survivants constitue à la fois un privilège et une responsabilité.
Le premier projet
Le premier projet
« Le premier projet sur lequel j’ai travaillé était la révision de l’anthologie des femmes […] J’étais père depuis peu et très émotif. J’avais un nouveau-né à la maison et je lisais des récits de violences subies par des mères et leurs bébés […] J’étais à vif. » — Matt Carrington, éditeur
Laissez Matt vous parler de son premier projet d’éditeur de mémoires de survivants et découvrez comment, en tant que jeune père, ces récits l’ont particulièrement troublé.
Un moment clé
Un moment clé
« [Ça] se passe vraiment […] Les survivants étaient devenus des auteurs, des auteurs publiés. »
— Jody Spiegel, directrice du Programme des mémoires
Dans le cadre de la semaine éducative sur l’Holocauste (Holocaust Education Week, HEW), nous vous proposons de découvrir de quelles manières les mémoires de survivants de l’Holocauste sont employés dans les écoles canadiennes, et de mesurer l’importance de ces récits aux yeux des élèves.
Jody décrit le moment qui lui a fait prendre conscience que les mémoires des survivants transformeront l’enseignement de l’Holocauste dans les écoles canadiennes.
La mission éducative
La mission éducative
« Nous souhaitons qu’au moins un […] des 120 témoignages publiés se retrouve dans chaque salle de classe et que les mémoires des survivants y nourrissent les échanges. » — Jody Spiegel, directrice du Programme des mémoires
Jody Spiegel, Marc-Olivier Cloutier et Michelle Sadowski vont au cœur des principes qui orientent notre mission éducative : partager les mémoires des survivants avec les élèves canadiens et outiller le personnel enseignant pour enseigner l’histoire de l’Holocauste avec rigueur et en toute confiance.
Jody, Marco, et Michelle expliquent les objectifs de la mission éducative du Programme des mémoires de survivants de l’Holocauste.
Enseigner aux enseignants
Enseigner aux enseignants
« Lorsque la Fondation a commencé à publier des mémoires, nous avons constaté que les enseignants avaient besoin d’outils pour aborder le sujet de l’Holocauste en classe et pour enseigner les faits historiques tout en tenant compte de la sensibilité des élèves. » — Michelle Sadowski, conseillère en éducation
Michelle explique comment l’équipe d’éducation soutient les enseignants afin qu’ils puissent enseigner l’Holocauste avec rigueur, tout en tenant compte de la sensibilité des élèves.
Michelle présente notre approche de l’enseignement de l’Holocauste.
Cuisiner avec Pinchas
Cuisiner avec Pinchas
« [Pour] beaucoup d’élèves, l’apprentissage de l’histoire juive se réduit souvent à celle de l’Holocauste. [Nous] voulions élargir cette perspective. »
— Ben Gross, enseignant
Ben Gross, enseignant au secondaire à Toronto, explique comment la lecture de mémoires de survivants en classe peut enrichir l’apprentissage des élèves de plus d’une façon.
Ben décrit une journée en classe avec l’auteur-survivant Pinchas Gutter qui fait le récit de sa vie à travers ses recettes.
Connection
Connection
Des trajectoires communes
« [C’est] toujours surprenant à quel point des élèves récemment arrivés au Canada s’identifient au parcours des survivants. »
— Marc-Olivier Cloutier, responsable des projets éducatifs
Marc-Olivier témoigne des liens qui se créent entre les élèves et les survivants. Lorsque ceux-ci racontent leur immigration au Canada après la guerre — la nourriture inhabituelle, le sentiment de ne pas être à sa place — les élèves nouvellement arrivés au pays voient leur expérience reflétée dans celle des survivants. Ces trajectoires communes créent des liens profonds entre eux.
Marco décrit comment les expériences des élèves peuvent les amener à se reconnaître dans le récit d’immigration des survivants.
Une rencontre avec Kitty
Une rencontre avec Kitty
« Kitty a pris le temps pour demander à chaque élève quel était son nom […] et elle leur a posé des questions. Un lien tout particulier s’est créé entre elle et les jeunes issus de l’immigration, comme si elle se disait : “Je te comprends, et tu me comprends.” »
— Michelle Sadowski, conseillère en éducation
Michelle décrit comment la survivante Kitty Salsberg partage son histoire et crée des liens particuliers avec les élèves lors de sa visite dans une école.
Michelle souligne l’importance des rencontres entre les survivants de l’Holocauste et les élèves, et de leurs échanges qui marquent autant les jeunes que les survivants.